Edwige Rousseau

Pièce d'identité ≈ NOM DE FAMILLE : Rousseau. Et avant que n'importe qui demande n'importe quoi, non, pas Rousseau comme Jean-Jacques Rousseau, c'est seulement un homonyme. Mais dans le genre célébrités du patrimoine familial, je n'ai pas tellement à me plaindre non plus. ≈ PRÉNOM(S): Edwige. Qui ne s'écrit absolument pas comme la chouette d'Harry Potter, merci. ≈ SURNOM(S) : Tout le monde m'appelle Eddy. Enfin ceux qui me connaissent assez pour m'appeler de quelque manière que ce soit, bien entendu. ≈ DATE DE NAISSANCE : Un 23 juillet. Deux mois à l'avance, d'ailleurs. ≈ LIEU DE NAISSANCE : Aix-en-Provence, dans la région PACA. ≈ ÂGE : Vingt-quatre ans. ≈ NATIONALITÉ : Française. Plus française que française même. ≈ ORIENTATION : Bisexuelle. Même si actuellement je rejette toute relation avec les femmes, disons que je l'ai été plus que je ne le suis encore. ≈ STATUT CIVIL : Célibataire, j'ai bien d'autres préoccupations qui me tiennent loin des questions d'amour. Du moins c'est ce que je m'efforce de croire. ≈ ÉTUDES/MÉTIER : La rumeur, colportée par mes parents qui s'affligent de savoir la vérité, est que je suis des cours par correspondance en histoire de l'art, et que je passe le reste du temps à peindre. L'autre version, la bonne cette fois, est que j'ai arrêté mes études il y a maintenant deux ans, et que j'évolue comme chanteuse de rue. Ou plutôt de métro. ≈ NIVEAU DE RICHESSE : Je suis pauvre. Mais j'ai l'intime conviction que ça finira par changer, je pourrais vivre passablement bien de ma musique, j'en suis persuadée. ≈ GROUPE : wtf? dude! Salut toi qui lis cette fiche. Mon pseudo RPG c'est bad wolf et j'ai 21 années de vie derrière moi, tout ça ouais. Comment je suis arrivée là ? une sale bête qui va arriver aussi m'a envoyé le forum et depuis je tourne autour (aa) . Je joue un personnage inventé . Je serais présent(e) sur le forum 5 jours sur sept. Pour ce qui est de la longueur de mes rps c'est plutôt moyen (600 à 800 mots) / long (800 à +1000 mots) sinon je voudrais encore dire que ce forum est sacrément cool ** Et J'ai emprunté la belle gueule de Troian Bellisario pour jouer ce personnage.

En apparrence c'est ainsi que je suis

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La première fois qu'on me voit, on se dit toujours que je suis l'exemple typique de la parisienne. Combien de fois n'ai-je pas entendu les autres me dire «  je te voyais pas du tout comme ça, je pensais que t'étais le genre de filles inaccessible qu'on peut croiser partout. » Inaccessible, je ne le suis pas. Je peux paraître étrange à me balader avec ma guitare partout, à chanter dès que je peux et à adorer traîner avec toutes sortes d'artistes et musicos. Parce que je suis pas la parisienne qui va a-do-rer visiter les innombrables musées de la capitale ou bien les conversations culturelles et philosophiques. Parfois, oui, je peux. Mais pas tout le temps. Je suis qu'une simple fille qui veut vivre de son rêve et qui fait tout ce qui est en son pouvoir pour y arriver. Je ne me laisse pas porter par le vent, je lui insuffle la direction. Alors oui, peu de gens me verront vraiment leur sourire s'ils me regardent de haut parce que j'ai toujours appris à donner ce que je reçois. Je peux paraître hautaine parfois, mais si vous connaissiez mes parents, vous comprendriez pourquoi. Au-delà des apparences, je suis tout sauf dédaigneuse. Une passionnée, une rêveuse, une amie, je peux être tout à la fois. Je peux m'extasier devant la Tour Eiffel alors que j'y passe devant tous les deux jours, je peux manger deux big mac au McDo et me mettre de la sauce partout sur mon haut sans que ça ne me pose plus de problèmes que cela, je peux émailler mes collants sans me demander quinze fois ce que les gens vont penser de moi. Parce que le regard des autres ne m'importe pas. J'ai toujours fait ce que j'ai voulu, quitte à couper toute réelle relation avec mes parents, dans la mesure du possible bien entendu. J'ai jamais été fan de toute la bourgeoisie, de tout le côté riche de Paris. Pourtant, ma famille y a bien trouvé sa place depuis le déménagement. Il faut dire que j'ai toujours voulu vivre par moi-même. Pour être fière de l'argent que j'avais, il fallait que je le gagne moi, pas qu'un virement soit fait toutes les semaines sur mon compte par mon père. Et j'y arrive plutôt bien. On m'a souvent demandé pourquoi je n'avais officiellement jamais dit «  merde » à mes parents. Pourquoi j'étais toujours à naviguer entre leurs mensonges et ma vie. La réponse est simple : j'ai un cœur, et la personne qui y trône en maître est ma sœur. Si je les envoie paître, je la perdrais. J'ai ce défaut, malgré tout. Je suis trop sensible et m'attache trop facilement. J'aurais dû pouvoir m'en séparer pour vivre ma vie. Mais il faut croire que ce n'est jamais facile.

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Mais je cache bien des choses

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